Personne ne t’invoque,
personne ne se ressaisit |pour s’attacher à toi.
Car tu t’es détourné de nous
et tu nous as fait défaillir
sous le poids de nos fautes.

Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père.
Nous, nous sommes l’argile,
et tu es le potier |qui nous a façonnés :
nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.
Ne sois pas courroucé |à l’excès, Eternel.
Ne nous tiens pas rigueur |à toujours de nos fautes !
Et daigne porter tes regards |sur nous tous qui sommes ton peuple !

Read full chapter